Il existe tellement de propositions différentes en ligne que les personnes sont noyées et souvent perdues… Elles ne savent pas comment choisir, comment différencier les offres, ni comment savoir si celle qu’elles vont choisir sera efficace pour devenir « la » thérapeute qu’elle souhaite, pour se sentir capable de se lancer, compétente et légitime. Il est également difficile de choisir un outil thérapeutique et tant qu’on ne l’a pas expérimenté sur soi et pratiqué sur d’autres c’est très abstrait. Une fois engagée dans une voie, si on se rend compte que cet outil ne nous convient finalement pas, on a dépensé de l’argent et du temps pour au final devoir repartir vers une autre voie…
Et qu’est-ce qui vous fait douter, ne pas vous sentir légitime ?
C’est manquer de confiance en ses capacités, ne pas savoir par quel bout commencer un accompagnement, ne pas avoir de trame d’un rendez-vous, manquer d’expérience concrète, ne pas savoir structurer sa séance….
Tout ceci n’est que peu transmis dans la plupart des formations qui restent très théoriques et centrées sur le fonctionnement d’un outil ou d’une technique.
Parmi les personnes que je forme, ce qui revient souvent sur la légitimité ou leur expérience de formation c’est une accumulation d’outils qui ne permet pas d’oser se lancer.
Je suis née dans une famille classique, couple parental traditionnel, avec une mère hypersensible et anxieuse et un père souvent dans son monde…
J’étais une petite fille Hypersensible qui sentait tout et comprenait tout. J’absorbais comme une éponge tout ce qui se passait autour de moi (émotions agréables comme désagréables).
Mes parents n’étaient pas en mesure d’accompagner mes mouvements émotionnels, déjà pris dans les leurs. Donc, je me dépatouillais avec ce qui se passait dedans plus ce qui se rajoutait de l’extérieur.
J’avais une très grande empathie dont je cherchais à faire quelque chose …
A 11 ans, je décide que je veux soulager la souffrance des autres et je découvre le métier de psychologue. Cela me donnera une ligne directrice et une motivation pour supporter 5 ans d’études post bac très théoriques, avec peu de pratiques. Je m’ennuie, j’ai du mal avec le « par cœur », je ne vois pas où je vais aller avec tout ça…
Pendant ce temps, mon empathie fait que les gens viennent à moi spontanément. Il y a une attraction et je fais de mon mieux avec mon écoute, ma bienveillance et mon amour. Mais comme je ne suis pas armée pour gérer ça, j’absorbe trop et j’atteins ma limite à 20 ans, je suis à saturation. Laisser passer l’autre avant soi a des conséquences que je découvre alors.
J’ai donc commencé un travail sur moi et n’ai jamais vraiment cessé depuis…
J’ai exploré différentes expériences de travail personnel avec des thérapeutes variés et aussi par la suite par moi-même avec mes outils. Je le comprendrai plus tard mais c’est LA BASE fondamentale pour accompagner les autres.
En 2002, à 24 ans, j’obtiens donc mon diplôme de psychologue clinicienne. Je ne sais toujours pas vraiment comment accompagner les gens, je n’ai pas d’outils concrets …
Dans mon premier poste, je ne sais pas quoi faire avec mes patients à part les écouter… Je suis perdue, je n’ai toujours que mon bon sens, ma bienveillance et mon empathie.
Je fais donc comme je peux avec beaucoup d’amour et aidée par ma créativité et déjà sans en avoir conscience mon intuition…
Puis, je me mets à rechercher d’autres outils à l’extérieur de moi… Et je me demande alors « qu’est-ce qu’on attend d’un thérapeute ? »
La Réponse m’est venue de mes patients…
« Ce qui m’a donné confiance que je pouvais aller mieux c’est que vous aviez l’air bien dans votre peau et je me suis dit que si vous aviez réussi pour vous, vous sauriez me guider pour réussir moi aussi… »
La fausse croyance autour du diplôme…
Souvent, les personnes pensent qu’elles ne sont pas légitimes à accompagner l’autre car elles n’ont pas de diplôme… C’est un mythe qui continue à se perpétrer dans une société qui privilégie la tête pleine à l’expérience. Une personne est bien plus compétente quand elle a de l’expérience que quand elle a un diplôme théorique.
Les personnes vont donc faire une course aux compétences pour se convaincre qu’elles sont légitimes mais elles ne se sentent pas plus légitimes. Et à force de cumuler les formations diverses et de ne toujours pas oser se lancer, elles se dévalorisent et ne savent plus comment sortir de ce cercle infernal…
Pour avoir eu un diplôme d’état, reconnu, mais qui m’a semblé vide de contenu concret une fois sur le terrain, je peux vous partager que la légitimité ne vient pas du diplôme ! Je me sentais imposteur avec mon diplôme face à la souffrance des êtres en face de moi…
Alors au final qu’est ce qu’on attend d’un thérapeute ?
Voici toutes les réponses qu’on m’a données c’est : qu’il soit bienveillant, compatissant, qu’il ne juge pas, qu’il soit à l’écoute, empathique, qu’il aide à trouver des pistes pour aller mieux, qu’il me comprenne, qu’il soit bien lui-même pour donner espoir que c’est possible, qu’on sente qu’il s’intéresse vraiment à notre vécu et soit impliqué, qu’il me propose des outils efficaces pour guérir, qu’il m’aide à m’autonomiser avec mon bien-être….
En entendant tout ça, pensez-vous toujours que ce soit le diplôme qui garantisse ces qualités ?
Non ! C’est par l’expérience, les trainings qu’on va acquérir plus de clarté afin que
tous nos rendez-vous se fassent comme une évidence, un réflexe et qu’on sache comment dérouler les choses selon la problématique amenée par le client.
Ça ne s’acquiert pas avec une formation uniquement théorique et intellectuelle. De plus, en accumulant, on s’éparpille, on se morcelle, on perd confiance.
Comme je vous l’ai partagé plus haut, j’ai cherché à intégrer à ma pratique de nouveaux outils car l’écoute et la parole seules ne me suffisaient pas et je me rendais compte que même si ça soulageait mes patients sur l’instant, ça ne les guérissait pas en profondeur de leur souffrance.
J’ai alors voulu trouver le moyen d’accompagner l’être dans sa globalité… Pour ça, je me suis formée à des outils sensoriels : olfactothérapie, sonothérapie, massages et enfin soins énergétiques.
Le terme psychologue clinicienne ne me correspondait plus à cette nouvelle approche de mes patients, alors j’ai choisi thérapeute holistique car en grec « holos » signifie global.
J’ai découvert qu’en travaillant parallèlement sur tous les corps, les personnes guérissaient plus vite et en profondeur.
Accompagner l’autre par ses 4 corps c’est :
Comprendre le fonctionnement de sa psyché,
Accompagner à libérer ses émotions,
Prendre en compte le corps et ses besoins,
Connaître les corps énergétiques et faire des soins.
Pour le patient ça revient à :
Au niveau de la psyché : comprendre pourquoi j’ai ces maux et y mettre du sens me soulage.
Au niveau émotionnel : écouter les messages de mes émotions, accueillir mon enfant intérieur blessé me libère.
Au niveau corporel : mon corps parle, il sait et ne ment pas, grâce à lui je découvre mon univers intérieur et je peux aussi guérir en passant par lui.
Au niveau énergétique : je peux anticiper et prévenir de futures souffrances physiques ou émotionnelles en libérant les nœuds énergétiques avant qu’ils ne se densifient.
Il y a donc une différence entre accumuler des connaissances et incarner le thérapeute. Que veut dire « incarner le thérapeute » ? Si on part du principe que nous avons plusieurs rôles ou archétypes à jouer dans notre vie comme par exemple : être la mère, la fille, l’enseignante, l’élève, l’épouse, l’amante, la thérapeute etc… Pour incarner un archétype, il faut le ressentir en nous, sinon on fait semblant. Il ne suffit pas d’avoir un beau cartable pour être un élève par exemple! Il faut être dans une démarche de curiosité et d’envie d’apprendre, mettre en œuvre des habiletés pour y arriver.
C’est la même chose pour l’archétype du thérapeute. Il ne suffit pas de cumuler des outils et d’avoir un cabinet… Il faut se sentir thérapeute en soi.
Pour cela, l’essentiel est de plonger à l’intérieur de soi pour explorer ses zones d’ombre. Se réparer soi-même avant de chercher à réparer l’autre. Vérifier au passage par cette démarche que notre motivation n’était pas que se guérir en guérissant les autres…
Car au fond de moi je ne suis pas dupe et c’est là que va se loger le sentiment d’illégitimité : savoir que je dis des choses aux autres que je n’ai pas appliqué à moi-même.
Pour être légitime, je dois me dire : « je l’incarne à l’intérieur de moi,
je suis thérapeute, j’ai vécu pour moi-même les outils, j’ai travaillé sur moi et je sais de quoi je parle ».
Il y a donc une différence entre apprendre par cœur des informations et des outils et les comprendre dans tous ses corps, dans tous ses sens afin qu’ils soient intégrés pleinement.
Quand on croise une zone de turbulence, une zone d’ombre, des souffrances et qu’on est dans le brouillard, on ne sait plus comment s’en sortir.
Le thérapeute qui a cheminé dans ses ombres, qui a réussi à trouver la lumière, devient celui qui a avancé dans ce tunnel.
Donc, quand quelqu’un est dans le noir et vois cette lumière que porte le thérapeute ça va l’aider à avancer et à aller mieux.
On est gardien de la lumière, gardien du fait qu’on peut aller mieux, que c’est possible de s’en sortir et d’être résilient.
On a tellement ce vécu là en soi que la personne qui vient à nous a toute confiance qu’on va pouvoir l’aider.
La vie vous amène les personnes justes selon où vous en êtes et selon leurs besoins. Mais il y a aussi des phénomènes miroir avec nos patients et des
projections possibles de part et d’autre…
Il est nécessaire d’avoir le recul et la conscience de ce qui se joue pour ne pas entrer dans les pièges et prendre personnellement ce qui se passe.
La meilleure personne pour accompagner quelqu’un n’est pas celle qui se croit en parfaite santé mentale mais celle qui a conscience de ce qui ne va pas objectivement et qui est allée voir ses blessures, les regarder en face et qui sait comment les traverser.
Ça demande du courage !
Témoin, je rayonne ma résilience ! Cela veut dire que je peux témoigner au reste du monde qu’on peut être bien qu’on peut se libérer de la souffrance et aller mieux.
Le meilleur moyen d’influencer les autres ce n’est pas de les convaincre de quelque chose c’est de le rayonner par l’exemplarité.
Mes patients, ceux qui viennent à moi me renvoient souvent qu’ils viennent me voir parce que je leur semble bien dans ma peau.
De plus, pour communiquer ensuite sur son activité, se faire connaître, le rayonnement est essentiel !
Quand on devient thérapeute pour que les gens viennent à nous …
Pourquoi vont-ils venir vers vous parmi tous les autres?
Parce que vous êtes rayonnante et qu’on a envie d’être dans votre énergie car elle fait du bien. C’est aussi ce rayonnement qui attire les autres ! Il suffit alors de simplement « être ».
Ce qui est bien est de pouvoir explorer les outils pour pouvoir choisir ce qui nous correspond car c’est en les explorant sur soi et sur les autres qu’on sent lequel choisir. C’est l’avantage du thérapeute holistique, il a une large palette d’outils. On peut aborder les personnes dans toutes leurs dimensions.
Il faut aussi réfléchir à ce qui servira le plus grand nombre de personnes, quelque-soit leur degré d’éveil et leur niveau de conscience.
Une formation efficace pour moi c’est quand on apprend par tous les corps.
Dans les formations en ligne on apprend avec sa tête, seule chez soi, derrière un écran.
Ça ne peut pas suffire pour se sentir efficace et légitime et ça toutes mes stagiaires me l’ont dit.
A la fin de la formation, elles témoignent que les temps de présentiel, d’expérimentation, d’entraînement, de partage, de travail sur soi dans le groupe ont été la clé essentielle de leur transformation.
Sinon, j’écoute, je prends des notes avec une formation intellectuelle et voilà je crois que je suis formée.
Mais il faut pratiquer, pratiquer, pratiquer.
Il y a une grosse différence entre moi il y a 20 ans et moi aujourd’hui.
Ma pratique est plus fluide, plus rapide, il y a des prises de conscience, des ressentis, je trouve les bons moyens tout de suite pour libérer l’autre.
Car 20 ans de pratique m’ont apporté des automatismes, des réflexes.
Comme n’importe quelle chose qu’on apprend, plus on pratique, meilleur on devient. Donc, une formation pour laquelle il n’y a pas de pratique et d’expérimentation, j’ai du mal à imaginer comment ça peut être efficace. En tout cas, pour moi, ça n’a jamais été efficace.
Quand je vois toutes les personnes que j’ai formées, qui avaient déjà fait 5 ou 6 formations différentes avec des connaissances théoriques très riches et qui me disent « oui mais je ne sais pas quoi en faire » ou « je n’ai pas confiance que je peux accompagner quelqu’un » et encore » je ne sais pas par quel bout attraper la personne »,
On voit bien qu’apprendre des choses dans sa tête ne suffit pas.
Plus qu’une formation il faut être initié.
Une transmission d’une personne qui incarne cet archétype du thérapeute et qui peut aider à trouver le sien.
Dans ma formation, la partie training, expérimentation en présentielle est indispensable. J’ai choisi éthiquement de faire une formation de qualité et si je suis honnête et transparente, je ne peux pas transmettre ce genre de compétence sans pratique.
Il faut pratiquer dans son corps, dans son cœur, dans ses émotions et en palpant l’énergie.
Souvent ce sont nos blocages au moment de passer à l’action qui nous empêchent d’agir.
C’est ce que décrivent mes clientes ou les stagiaires qui arrivent dans ma formation sans avoir oser se lancer après leurs multiples formations précédentes.
Elles sont envahies par les doutes, le manque de confiance en soi et le manque d’expérience.
Souvent ce sont nos blocages au moment de passer à l’action qui nous empêchent d’agir.
C’est ce que décrivent mes clientes ou les stagiaires qui arrivent dans ma formation sans avoir oser se lancer après leurs multiples formations précédentes.
Elles sont envahies par les doutes, le manque de confiance en soi et le manque d’expérience.
Je suis unique ! Il y a plein de gens qui savent faire des soins au bol tibétains ou des massages ou des soins énergétiques. Mais nous sommes 8 milliards d’humains et parmi eux tous ne sont pas attirés par les mêmes personnes. Plus vous êtes vous-même, unique, plus vous signez vos soins de l’empreinte de qui vous êtes. Plus vous attirer les bonnes personnes qui vous correspondent. Pour se découvrir et savoir quel thérapeute vous êtes, il faut encore une fois s’autoriser à expérimenter et découvrir ses facettes, ses attirances plus précises pour certaines pratiques. D’où l’importance d’une formation assez ouverte et large pour tester, découvrir et voir quel thérapeute vous êtes. Les personnes vont alors venir vous voir vous et pas quelqu’un d’autre. D’où l’importance d’intégrer ce qu’on apprend dans une formation et d’en faire SA pratique.
L’intuition vous donnera une réponse précise sur l’accompagnement approprié pour votre patient. Pour cela, il faut s’écouter car on a en soi la réponse. Se faire confiance, oser pratiquer le soin comme on sent qu’il est bon de le pratiquer à ce moment-là. Alors on attire à soi les personnes qui vibrent avec notre énergie. Savoir qu’on est unique et qu’on attire à nous les personnes qui nous correspondent et à qui on correspond permet aussi de s’éloigner de la peur de la concurrence. Ce n’est pas parce qu’il y a d’autres personnes qui proposent des soins qu’elles vont vous prendre vos clients ! Ceci est une idée de l’ego qui compare, juge et nous fait douter. Quand on veut vivre dans l’énergie d’abondance, il faut sortir de l’idée que les clients sont limités et qu’il n’y en aurait pas assez pour tout le monde.
Il y a toujours des personnes faites pour venir vous voir vous et pas quelqu’un d’autre. Votre signature thérapeutique est ce qui va faire qu’on va vous reconnaître. On va sentir que vous qui vous êtes et on va aimer votre vibration. Il y aura alors une bonne accroche entre le patient et vous et cela viendra de ce que vous allez émaner. Osez être qui vous êtes, signez vos soins et vous attirerez les personnes justes qu’il vous faut, les clients de cœur qui n’attendent que vous.
Pour croire en ses capacités et ses compétences, l’effet du groupe est puissant. Les groupes de training boostent la confiance en soi car on est valorisé par les feed-back du groupe. On amplifie nos compétences et notre confiance en nous. On sent, en donnant le soin, les effets sur la personne et elle nous donne un feed-back, ses ressentis, on la voit changer d’énergie les jours suivants. On constate l’effet de notre soin !
Il y a des choses positives qui en ressortent comme « c’était juste quand tu as mis ta main là c’est exactement ce dont j’avais besoin » « l’intuition de dire cette phrase a été mon déclic ».
J’aime voir les visages de mes stagiaires qui s’illuminent, les personnes rayonner et changer après les trainings grâce à la prise de conscience qu’on sait faire et qu’on y arrive.
Quand une stagiaire se lance et fait sa première consultation la joie, l’émotion est contagieuse.
En fin de formation aussi, après le dernier oral, quand certaines ont fini et reçoivent leur diplôme, d’autres qui étaient un petit peu plus en retard pour les devoirs à rendre, sont boostées. C’est comme une cordée qui s’entraide. Il y a un esprit bienveillant et solidaire dans mes groupes. Il y a le non jugement, on se sent alors porté. Les anciennes stagiaires dans les groupes What’sApp disent aux autres « allez les filles j’ose tester ça » je sais que vous êtes là si j’en ai besoin ».
Le facteur puissant pour se lancer et passer à l’action c’est de sortir de sa zone de confort et de se confronter à des endroits qui ne sont pas agréables à regarder, les choses pas très belles qu’on n’a pas envie de voir à l’intérieur de nous. Ça donne de la force et une sécurité intérieure qui aident à passer à l’action. On renforce les racines sur lesquelles on prend appui pour sauter. On est capable s’il y a des embûches sur le chemin. On sait qu’on peut les traverser en sécurité. Alors que s’il y a des nœuds des zones d’inconfort à l’intérieur ça fera des blocages comme un diable prêt à sortir de la boite à tout moment. Le mental va nous dire « tu n’es pas assez ! » « pour qui tu te prends ? » « tu n’es pas capable ! » « tu crois vraiment que tu es légitime à faire ça ? ». Cette voix-là, si elle n’est pas démasquée, pas libérée, pas conscientisée, pas déconditionnée, ces croyances qui sont des conditionnements de l’enfance ou des mémoires transgénérationnelles vont vous bloquer.
Exemple : « Dans la famille, personne n’a fait d’études, personne n’a osé changer de métier : pourquoi j’oserai ? ».
Dans ma formation il y a un travail sur l’inconscient personnel avec un nettoyage et des prises de conscience. En transgénérationnel, on étudie aussi les arbres (génosociogramme) et on fait un travail de constellation familiale lors du dernier week-end pour lever les ultimes blocages. Il n’y a plus de boulet au pied. Plus rien n’empêche d’oser passer à l’action et de se lancer.
Ça y est vous êtes thérapeute ! Vous êtes passé à l’action, vous avez travaillé sur vos compétences, vous avez confiance en vous, vous avez fait un travail sur vous, avez exploré les outils, vous avez acquis de l’expérience. Comment allez-vous parler de votre activité ?
Avec cette énergie-là ! Lumineuse et joyeuse, vous allez annoncer une super nouvelle !
Sinon, tant que ce chemin n’est pas fait, on est presque à s’excuser, on n’ose pas dire qu’on est thérapeute, on va proposer des soins » si tu as envie » et éventuellement « gratuitement parce que je démarre ». On a du mal à s’autoriser à être rémunérée et au juste prix pour nous. Alors que là, on est dans la joie d’aller proposer notre aide aux gens. On sait qu’on va leur faire du bien. L’énergie est bonne pour communiquer. L’énergie dans laquelle on communique est la clé pour que l’information se diffuse.
On peut s’appuyer sur un groupe de supervision pour continuer de progresser dans sa pratique. Moi j’ai créé des groupes avec mes stagiaires pour les aider à prendre du recul sur leurs accompagnements, leur positionnement, parce qu’elles sont toujours en chemin et qu’on est toujours en chemin. Les supervisions peuvent être régulières ou ponctuelles, individuelles ou collectives. Ça agit comme une aide rassurante quand on débute, on se retourne si besoin et on sait qu’on a le soutien qui est là.
Tant qu’on laisse nos doutes, notre mental nous bloquer, on n’agit pas, on n’est pas en train de faire du bien aux autres. On passe à côté de sa mission. L’univers manque de vous et vous privez les personnes de votre compétence. Le passage à l’action doit se faire dans la joie.
Et là, vous êtes à votre place, alignée sur votre mission d’âme, et vous partager votre lumière et votre énergie d’amour au monde !
SI cet article vous a parlé, a éclairé certaines de vos questions et que vous avez envie de sauter le pas et de miser sur vous pour réaliser votre projet de cœur, choisissez une formation qui réunit les critères que je vous ai partagés ici.
Une formation qui soit « expérientielle », vivante, où vous pouvez explorer les outils sur vous et sur d’autres. Une formation qui vous offre un groupe de pairs avec qui cheminer et qui agit comme une cordée qui motive à aller de l’avant.
Une pédagogie holistique qui vous permet d’apprendre par tous vos corps afin d’intégrer au mieux votre futur métier.
Cette formation vous devez vous sentir libre de la choisir et au-delà de ces critères, elle doit vous appeler aussi au niveau de votre cœur et de votre âme ! Faites confiance à votre intuition !
Je vous propose la mienne ici …
C’est quoi la formation Gardienne du Bien-Être ?
C’est plus qu’une simple formation!
C’est un accompagnement global et holistique pour les personnes qui veulent devenir thérapeute.
Je vous apprends les savoir-faire mais aussi le savoir-être que j’ai acquis durant les 20 dernières années de ma pratique de thérapeute afin que vous vous lanciez dans votre activité de façon fluide, confiante en vous sentant à votre juste place et légitime.
J’ai créé cette formation car je rencontre régulièrement des femmes qui aimeraient se lancer dans leur métier passion qui est d’accompagner les personnes vers le mieux-être.
Certaines ont même déjà entrepris des formations pour acquérir des outils. Ce sont des femmes exceptionnelles, lumineuses qui rêvent d’incarner leur mission de vie et de pouvoir œuvrer pour le plus grand bien de tous! Mais elles bloquent car elles ne se sentent pas légitimes et leurs connaissances théoriques ne suffisent pas à leur faire sauter le pas et se lancer dans leur mission.
Amélie & Sébastien Carlier @ tous droits réservés